Contre la Démocratie, Contre le Progrès, Contre l’Amour

à la Résidence Alfred Weiss – 7 quai du Bruckhof, Strasbourg

  • Samedi 14 avril 2018 à 20h30
  • Dimanche 15 avril 2018 à 17h

Restitutions publiques des ateliers d’Expression théâtrale (découverte et approfondissement)
Entrée libre, plateau

Penser contre : voilà le point de départ d’Esteve Soler pour cette trilogie qui nous donne à voir les paradoxes de l’amour, la déshumanisation du progrès ainsi que la perversion du mot démocratie, ce mot dont nos sociétés occidentales usent et abusent. Ce jeune auteur catalan (1976), un Alfred Jarry de notre époque, enfile l’une après l’autre des pièces surréalistes, burlesques, ou de « Grand Guignol »… où l’humour – acide − et la farce mettent en relief la cruauté, la faiblesse des personnages. Il nous offre ainsi un voyage théâtral qui va d’un passé cruelle au scénario futuriste décapant, en passant par le portrait au scalpel de l’absurdité de notre société. Tout est ici passé à la moulinette, pour la plus grande joie et la plus grande perplexité de tous et de toutes.


Distribution :  Ben Lakhdar Ichraf, Breting Pierre-Jean, Brot Gilles, Budria Ludivine, Kapica Kaia, Laezza Serena, Marx Aurianne, Rey Büchler Yola, Sommer Hugo, Vuillez Maude, Allenbach Emma, Bilger Manon, Chmielarz Juliette, Fourmy Camille, Fritsch Lucile, Gerecnik Priscilla, Godard Margot, Kobler Milena, Llors Raquel, Mailfert Océane, Runser Louisett.

Mise en jeu : Christophe Muller
Texte : Esteve Soler
Traduction : Emmanuelle Garnier